ChroniqueC’est un paradoxe typiquement made in Morocco. Notre football est géré de deux façons diamétralement opposées. Il y a tout d’abord le management de la FRMF, basé sur des procédures et des règles «vertueuses», et, en face, l’univers de nos clubs où les termes litiges, surendettement, grèves et valse des entraineurs font partie d’un quotidien bien morose. Voilà qui est curieux pour un pays dont la sélection a terminé 4ème de la dernière Coupe du monde.