Violeur, assassin et nécrophile: Le monstre condamné à la peine capitale

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Revue de presseKiosque360. La cours d’appel de Tanger a condamné à la peine capitale un homme originaire de Ksar El Kbir, accusé d’avoir violé et assassiné une vieille femme pour la violer une seconde fois après sa mort.

Le 21/05/2015 à 22h35

Rien d’étonnant à ce que la Cour de justice n’ait montré aucune clémence vis-à-vis d’un prévenu coupable d’un crime nauséabond. La sentence est sans appel: l’accusé paiera de sa vie son crime monstrueux. Une condamnation à mort assortie d’une amende de 10.000 dirhams. Cette sentence, déjà prononcée lors d’un premier jugement, a été confirmée, récemment, par la Cour d’appel de Tanger, rapporte le quotidien Assabah dans son édition de ce vendredi 22 mai.

Violeur, assassin et nécrophileIl faut dire que l’inculpé s’est rendu coupable d’actes d’une sauvagerie à ce point inouïe qu’il en devient difficile de concevoir une sentence à la mesure de l’abjection du crime. Ou des crimes, pour être plus précis. Car c’est une véritable déferlante de violence qui s’est abattue sur sa victime, une vieille dame qu’il a violée avant de la tuer et de la violer une nouvelle fois, après sa mort.

Le journal arabophone précise que le criminel n’a pas nié les faits et a fait à la justice des aveux complets. Ce qui n’a en rien joué en sa faveur, au vu de l’atrocité des faits. Et le quotidien d’ajouter que l’individu avait été dénoncé à la police de Larache par sa propre mère, suite à un appel de son fils qui lui a avoué son crime au téléphone. La police s’est alors immédiatement rendue au domicile de la victime, une voisine de la mère du meurtrier. Ils ont trouvé la pauvre femme bâillonnée et gisant sur le sol, sans vie, le corps meurtri, ses dessous arrachés. Son assassin a bien tenté de justifier son acte en prétextant avoir été sous l’emprise de la drogue. Mais rien ne peut justifier une telle sauvagerie.

Par Rania Laabid
Le 21/05/2015 à 22h35