Mal de tête, vertige, irritabilité, manque de concentration, agitation, anxiété... La baisse brutale de la quantité de nicotine dans l’organisme s'accompagne souvent de symptômes désagréables.
L'augmentation de l’appétit en fait d'ailleurs partie. Seulement, lorsqu'on est en plein mois de ramadan et qu'on ne peut même pas se défouler sur un tagine aux pruneaux, la gestion de la dépendance devient délicate.
Ajoutez à cela le sevrage de caféine, de théine, et d'autres substances plus ou moins illicites et vous obtenez un cocktail explosif de manques en tous genres qu'on appelle communément "l'qetâa". Un monstre qui détruit tout sur son passage.
Alors, comment les fumeurs gèrent-ils leur dépendance à la cigarette pendant le ramadan? Nous leur avons posé la question (armés d'un bouclier). Micro-trottoir.