Baccalauréat. Suppression de la philosophie: les précisions du ministère de l’Éducation nationale

Said Amzazi, ministre de l’Éducation nationale, de la formation professionnelle, de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique.

Said Amzazi, ministre de l’Éducation nationale, de la formation professionnelle, de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique. . DR

Le ministère de l'Éducation nationale a réagi, ce vendredi 23 février, à la polémique sur «la suppression de la philosophie et de l’éducation islamique des examens du baccalauréat». Voici ses précisions.

Le 23/02/2018 à 18h59

Le ministère de l’Éducation nationale, de la formation professionnelle, de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique a affirmé qu’«il n’a ni supprimé ni remplacé une matière par une autre en ce qui concerne les matières prévues aux examens régionaux et nationaux du baccalauréat pour tous les cycles et les branches».

Dans un communiqué, publié vendredi, le ministère a tenu à apporter ces précisions après les informations rapportées par certains médias électroniques et réseaux sociaux concernant la décision du ministère portant sur la suppression de la philosophie et de l’éducation islamique des examens du baccalauréat. 

Pour le baccalauréat professionnel, la même source précise que sur la base du programme pédagogique adopté, la matière de philosophie est enseignée en tronc commun depuis le lancement de ce cycle en 2014.

Le 23/02/2018 à 18h59