Pour le président du Forum Crans Montana, le Maroc tire sa force de la personnalité de son roi

Jean-Paul Carteron, président du Forum Crans Montana.

Jean-Paul Carteron, président du Forum Crans Montana. . Brahim Taougar Le360

Revue de presseKiosque360. Jean-Paul Carteron, président-fondateur du Forum Crans Montana, a affirmé, lundi dernier à Rabat, que la transformation démocratique du Maroc tirait sa force de la personnalité du roi Mohammed VI.

Le 21/01/2020 à 23h06

La prochaine édition du Forum de Crans Montana, qui se tient régulièrement depuis 2015 à Dakhla, aura lieu cette année du 18 au 21 mars. Jean-Paul Carteron, le président fondateur de ce forum massivement couru par les personnalités politiques et économiques du monde entier (venant de 170 pays), a présenté, lundi dernier à Rabat, les grands lignes du programme et des thèmes qui seront abordés cette année dans la capitale de Oued Eddahab. Les débats tourneront autour de l’Afrique et de la Coopération Sud-Sud, soit des thèmes chers au roi Mohammed VI, dont Jean-Paul Carteron a salué le rôle moteur dans la construction démocratique du Maroc, comme le rapporte le quotidien Al Ahdath Al Maghribia du mercredi 22 janvier.

En effet selon le président de Crans Montana, «la force du Maroc en tant que pays connaissant une forte dynamique de construction réside dans le fait que son chef d’Etat n’est pas au cœur des dissensions politiques locales, contrairement à nombre de dirigeants de pays démocratiques ou non». C’est ce qui explique, selon lui, l’influence et le charisme du roi, ainsi que l’unanimité faite autour de son rôle central dans toutes les affaires du royaume.

Et Jean-Paul Carteron d’ajouter que le Maroc «tire aussi sa force de la constance de la personnalité du roi, de sa finesse et sa main toujours tendue même aux adversaires les plus irréductibles du royaume».

Toutes ces qualités, explique-t-il, ont fait que tout le monde fait aujourd’hui confiance à la stabilité du Maroc, surtout dans ses provinces du sud où «les fenêtres et les portes se sont ouvertes parce que nous avons amené, ces six dernières années, plus de six mille participants au total» à Dakhla, a-t-il conclu.

Par Mohamed Deychillaoui
Le 21/01/2020 à 23h06