Hay Maâta Allah à Laâyoune: la fin du mythe des séparatistes

Laâyoune.

Laâyoune. . DR

Revue de presseKiosque360. Contrairement aux illusions véhiculées par des séparatistes à des fins de propagande, le quartier Maâta Allah à Laâyoune est devenu patriote. Les détails.

Le 27/12/2019 à 18h41

Le modèle de développement des provinces marocaines du sud se concrétise inclusivement et stratégiquement, transformant la région dans le cadre de la mise en œuvre de la régionalisation avancée. C’est un fait.

Symboliquement, les drapeaux du royaume flottent partout, socialement, les quartiers des villes s’harmonisent pour réaliser le bien commun de la communauté, politiquement et économiquement, les chantiers de réforme avancent et se concrétisent, culturellement et sociologiquement, la tolérance et le vivre ensemble caractérisent la vie dans la cité. C’est le message que laisse entendre un reportage réalisé par le quotidien Assabah dans son édition du week-end des 28 et 29 décembre, dans le quartier Hay Maâta Allah à Laâyoune.

En effet, l’équipe du journal, qui a sillonné les ruelles du quartier durant plus d’une heure, a conclu que les allégations mensongères de certains séparatistes n’ont aucune réalité sur le terrain. Le quartier, renvoyant l’image d’une ancienne médina, avec des habitations sur deux étages, et rarement trois, abrite des familles de la classe moyenne ou même modeste.

Le dénominateur commun des habitants est l’intégrité territoriale du royaume, hormis de rares éléments séparatistes, encore manipulés par le Polisario à partir des camps de Tindouf. Ces éléments, fait savoir le quotidien en citant des témoins sur place, manœuvrent à des fins politiques ou en vue d’un règlement de compte. Mais, précisent les mêmes sources du quotidien, la plupart de ces séparatistes ont quitté les lieux depuis belle lurette. Leurs habitations meublées sont exploitées par les rares éléments qui demeurent encore sur place afin d’accueillir des séparatistes de l’étranger ou des journalistes hostiles à la marocanité du Sahara, notamment en provenance de l’Espagne ou de Suède.

Mais en dépit de ce parasitage, au demeurant insignifiant, le quartier est caractérisé par la paix et la stabilité, affirme un vendeur de produits alimentaires, rencontré par l’équipe du journal. «Le quartier est calme et toutes les formes de protestation ont disparu. Les rares éléments séparatistes qui demeurent sur place sont désespérés à cause de l’effritement de leur thèse», a souligné ce vendeur de produits alimentaires. Autant dire que le citoyen lambda constate de visu les changements de l’évolution que connaissent la ville et la région sur tous les plans. 

Par Mohamed Younsi
Le 27/12/2019 à 18h41