Le ministre algérien de la Jeunesse et des sports a eu du mal à expliquer à son hôte chinois, un parton d’entreprise, le fond de sa pensée pour évoquer les retards pris dans la réalisation du projet du stade Baraki.
Pour mieux se faire comprendre, Mohamed Hattab a usé tour à tour du français et de l'anglais. Mal lui en a pris, car son interlocuteur, ayant vraisemblablement du mal à comprendre ses mots, lui a facilité la tâche en s'exprimant en langue arabe.
De quoi laisser pantois le responsable gouvernemental. Sur les réseaux sociaux, les internautes algériens ne l’ont pas épargné, jugeant «scandaleuse» l'attitude de leur ministre.