Sénégal: avec plus de 50.000 avortements clandestins par an, faut-il autoriser l’IVG?

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Une récente étude estime à plus de 51.000 les cas d’avortements clandestins par an au Sénégal. Elle vient ainsi de relancer le débat sur l’interruption volontaire de grossesse (IVG) pour les cas de viol ou d’inceste. Une idée loin de faire l’unanimité dans un pays fortement attaché à la religion.

Le 20/10/2016 à 14h29

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Par Ibrahima Diallo
Le 20/10/2016 à 14h29