Quand les Sénégalaises deviennent accro au blanchiment de la peau

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Pratiquée à l’origine par les «driankés» ou les prostituées, la dépigmentation de la peau («khessal» en wolof) a pris une ampleur inquiétante au Sénégal. On estime que deux Sénégalaises sur trois ont recours à cette pratique. Et évidemment, c’est la santé qui est menacée.

Le 14/11/2016 à 09h17

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Par Ibrahima Diallo
Le 14/11/2016 à 09h17