Cité par des médias en ligne algériens, le Bureau d'enquêtes et d'analyses a souligné que, selon les premières constatations, l'avion «au décollage aurait perdu une pièce métallique qui appartiendrait à la roulette de nez», c'est-à-dire «un élément du train d'atterrissage situé sous le nez de l'avion».
La semaine dernière, un avion d'Air Algérie à destination de Beyrouth a été contraint, près d'une heure après le décollage, de retourner à l'aéroport d'Alger Houari Boumediene, en raison d'un problème technique.
Un autre avion d'Air Algérie, qui devait assurer un vol Alger-Paris, avait fait demi-tour, il y a deux semaines, peu après son décollage à cause d'un problème de moteur déclenché par l'impact avec un volatile, selon le directeur de la division des affaires générales de la compagnie nationale, Reda Toubal Seghir.