Crise dans le Golfe: la presse polonaise salue l’initiative marocaine

Dans un article intitulé «Une initiative marocaine appréciable pour régler la crise entre les pays du Golfe», le journal en ligne TTG note qu’il s’agit d’une initiative diplomatique louable et sage sous la conduite du roi Mohammed VI en vue de dépasser les désaccords survenus entre les pays du Golfe.

«Le Royaume du Maroc intervient pour éviter la dégradation des relations entre les différentes parties, intensifiant au plus haut niveau les contacts afin de transcender cette crise», souligne le journal avant d’ajouter que «le Maroc mise sur le respect mutuel et les fortes relations fraternelles qui lient le souverain aux dirigeants des pays du Golfe».

De même, le journal en ligne «Warszawska ZBA Goospodarcza» salue cette initiative d’une grande sagesse pour apaiser les tensions et éviter la détérioration des relations entre les pays du Golfe avec qui le Maroc entretient des liens fraternels et un partenariat stratégique sur les plans politique et économique.

«Les bons offices offerts par le Maroc interviennent au moment opportun avant que la crise ne s’aggrave», relève le journal, citant le communiqué du ministère marocain des Affaires étrangères et de la coopération internationale qui souligne que «le Royaume du Maroc a veillé à ne pas verser dans les déclarations publiques et les prises de position hâtives qui ne font que renforcer la discorde et approfondir les divergences».

Une analyse également partagée par son confrère «Polskie Media» qui écrit que «le Royaume du Maroc a pris une position sage et pertinente après le déclenchement de la crise entre les pays du Golfe», indiquant que l’initiative marocaine vise à éviter la dégradation des relations entre les pays de la région.

Tout en observant que le Maroc figure parmi les rares pays arabes à n’avoir pas céder à la précipitation, appelant toujours à la retenue, le journal assure que cette initiative marocaine est à même de favoriser l’apaisement des tensions et le règlement de la crise et ce, grâce à l’implication effective du roi Mohammed VI.