Efficacité énergétique: le Maroc face à de nouveaux défis

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Revue de presseKiosque360. L’efficacité énergétique figure parmi les principaux défis du Maroc pour les prochaines années, notamment suite à la nouvelle stratégie énergétique du royaume à l’horizon 2030.

Le 01/02/2016 à 01h43

Casablanca s’apprête à accueillir un événement de taille, le 2 février prochain: «Les rencontres de l’efficacité énergétique». «L’objectif de cette rencontre est de favoriser une certaine prise de conscience des opérateurs marocains sur la pertinence économique et financière de la rationalisation et de l’efficacité énergétiques», confie Afifa Ouazzani Boutaleb, directrice fondatrice d’AOP Group et organisatrice de l’événement, au quotidien L’Economiste qui rapporte ses propos dans son édition de ce lundi 1er février.

D’après le journal, cette première édition s’articulera autour du thème «Comment réussir l’efficacité énergétique au Maroc?» et portera sur les atouts, les opportunités, les enjeux et les solutions innovants du secteur. Selon L’Economiste, les organisateurs de l’événement traiteront également des procédures pour la réalisation d’audits énergétiques et des démarches à suivre pour atteindre l’efficacité énergétique dans les Data Centers.

Citée par L’Economiste, Afifa Ouazzani affirme que «le dispositif législatif est une composante essentielle dans la promotion de l’efficacité énergétique. Les nouvelles normes thermiques dans le bâtiment, récemment mises en vigueur au Maroc, sont un bon exemple du déploiement de l’efficacité énergétique». La directrice d’AOB groupe fait là allusion à la nouvelle réglementation thermique dans le bâtiment (RTB), adoptée en décembre 2015.

D’après le journal, les Rencontres de l’efficacité énergétique auront également pour objectif la sensibilisation des participants aux objectifs de la Cop 22, qui se tiendra en novembre prochain à Marrakech. La conférence relative à l’efficacité énergétique mettra également l’accent sur les innovations en matière d’adaptation aux changements climatiques et d'atténuation de leurs effets.

Par Mouna Qacimi
Le 01/02/2016 à 01h43